"Des minorités mal connues: esclaves indiens et malais des Mascareignes au XIXe siècle."
viernes, 9 de octubre de 2009
Moringue Reunionés en Brasil
viernes, 25 de septiembre de 2009
Libertos de Mozambique en Islas Francesas
Na Zambézia havia dois tipos de escravidão:
– doméstica – a criadagem, guarda pessoal, familiares, e todos os que viviam no “chuambo”37 e faziam parte da casa do Senhor;
– de negócio – comprava‑se fora do prazo, nas terras mineiras ou de marfim, cujos régulos adquiriam os escravos de mais longe ainda ou os tomavam na guerra; estes iam ter a Quelimane, amarrados em fila ou ligados dois a dois, com forquilha de pau ao pescoço e pulsos atados, seguiam para a Ilha de Moçambique e eram vendidos para a Índia ou ilhas francesas.
miércoles, 23 de septiembre de 2009
Maloya (Mensaje de queja esclava ) Sega (Mensaje de buén humor esclavo)
El Maloya
Como el blues americano, el maloya es un canto de queja, cantando en su origen por los esclavos que añoraban su tierra y se quejaban de los malos tratos recibidos por sus amos.
Este tipo de canto estaba prohíbido en el pasado por las autoridades, pero hoy en día el maloya es una múscia festiva que se transmite de generación en generación. Los reunioneses se reunen para bailar el maloya en los Kabars.
Con muchas percusiones, el maloya se caracteriza sobretodo por un ritmo ternario de percusiones, según una pulsación negra - dobla corchea-negra-pausa repetida. El Maloya cuenta con instrimentos tradicionales como son el kayamb, el roulèr o el bobre (Berimbau).
El Séga
Contrariamente al maloya, el séga en el pasado fué muy común entre los esclavos y su mensaje era un espiritú de ligereza y de buen humor. Las autoridades preferían ver a los esclavos bailar y cantar este tipo de música en vez del maloya, ya que con esta última, temían que los esclavos se revelaran.
El séga ha logrado crear raices en la sociedad colonial. Es una música que tiene sus origenes en las danzas tradicionales de Europa, como son la polka y el vals, que se mezcla con un ritmo de origen afro-malgache.
Este tipo de música se encuentra también en las islas vecinas : Mauricio, Rodrigues y las islas Seychelles. En cualquier isla del Océano Indico se practica el sega y es una música que invita a bailar ya que su ritmo ameno es muy convivial.
martes, 22 de septiembre de 2009
Comercio Isla Reunión -Mozambique -Rio
lunes, 14 de septiembre de 2009
comme au temps de la colonisation. Encadré par le mouvement sportif local, il perd son authenticité d’origine et s’apparente plus à la capoeira brésilienne qu’au Moring traditionnel
de Madagascar ou des Comores15. L’esprit de combat et de formation des hommes par cette
pratique populaire anime toujours les nouveaux « Moringers » comme le signale le coordonnateur de cette discipline sportive : « Le Moring est comme un ciment. Là-dedans, il y
a le sport, les défis, la musique et le respect, c’est un nafer que nous doit développer pou nout
marmailles »16.
15 Le Quotidien de La Réunion, le 24 octobre 2004, p. 2. À Saint-Benoît, des jeunes des quartiers de la Cité
Labourdonnais créent un club de Moring qu’ils baptisent « Diamanga ». Les 14 clubs de l’Île ont participé à
l’inauguration de cette nouvelle association.
16 Idem. La signification de la dernière phrase est la suivante : « c’est une discipline que nous devons développer
pour nos enfants ».
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf
Mrenge e Comores
proximité des régions nord de Madagascar, berceau du « moraingy » explique son expansion
dans les îles comoriennes. De plus, la présence de nombreux descendants de colonisateurs
malgaches d’origine « sakalava » après la conquête de l’Île par le prince malgache sakalava
Andriantsoly qui s’y installe en juillet 1832, avec ses soldats et ses esclaves4, permet de
comprendre le développement du mrengé dans cette île et dans les autres îles de l’archipel,
notamment à Anjouan et Mohély où il était beaucoup pratiqué au XIXe siècle5. La présence
ancienne de l’Islam a dû être un frein à son expansion6. Le mrengé a été toutefois pratiqué à
Ngazidja – Grande Comore – le 26e jour du ramadan sous une forme de lutte à mains nues
non codifiée (Nkodézaitsoma). Il opposait les femmes d’abord, les jeunes et enfin les
hommes. À la différence du Mrengé de Mayotte où intervient un arbitre pour séparer les
combattants après deux ou trois assauts, le combat comorien qui n’est plus dans les moeurs,
était plus confus et le combat dégénérait souvent en véritables batailles rangées. Les
participants oubliaient la signification du 26e jour du ramadan où l’ange Gabriel transmettait à
Mahomet la révélation divine. Les combats des clans devaient rappeler aux participants les
conditions dans lesquelles vivaient les hommes avant la révélation divine.
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf
Malgaches en Reunión
l’esclavage dans les petites îles du sud-ouest de l’océan Indien occidental
Sudel FUMA
Université de La Réunion, CRESOI
En 1714, l’Île Bourbon comptant seulement 623 colons blancs et 534 Noirs malgaches et africains, on peut penser que le Moring n’est pas encore développé. Le développement de la culture du café pendant la période de Mahé de Labourdonnais change le contexte socioculturel avec l’introduction massive d’esclaves malgaches et africains tout au long du XVIIIe siècle. La
traite des Noirs, notamment des esclaves malgaches, plus nombreux que les esclaves africains
au XVIIIe siècle, emmène dans l’Île plus de 160 000 esclaves entre 1723 et 1810.9
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Art codifié, soumis à un rituel précis comme à l’origine, le Moring adopte des formes et un style réunionnais dès son implantation à Bourbon. Cependant, selon les localités et l’importance numérique du groupe ethnique, des nuances de style marquent la vie du Moring réunionnais. Ainsi, en 1839, un récit de voyages donne quelques explications sur les combats d’esclaves. « L’esclave »selon l’auteur, « met en chanson les problèmes de sa vie. Après les danses, il y a toujours des rixes, mais c’est presque toujours à coups de têtes et à coups de poings que s’attaquent les adversaires. Les témoins excitent les combattants, ils désirent un combat aussi sanglant que possible. La lutte ne cesse que lorsqu’il y a un des deux combattants sur le carreau »11. Cette description faite avant l’abolition de l’esclavage en 1839 montre deux esclaves dans une position de combat proche d’un combat du nord de Madagascar ou des Comores que d’un combat de Moring du XXe siècle où l’utilisation des coups de pied était autorisée.
9 Deschamps H., Histoire de la traite des Noirs de l’Antiquité à nos jours, Paris, 1972, p. 112. Au XVIIIe siècle, les Français des Mascareignes acquirent des captifs sur la côte est de Madagascar. Les principaux centres de traite étaient à Foulpointe à partir de 1756, puis Tamatave. Le trafic dépassait les 2 000 esclaves par an en moyenne dans les grandes années.
11 Arago, J., Souvenirs d’un aveugle, voyages autour du monde, Paris, 1839, p. 217.
http://www.celat.ulaval.ca/histoire.memoire/b2006/Fuma.pdf
Simone de Beauvoir-Brasil 1960
http://www.fundacaojorgeamado.com.br/memoriais_de_viagens.htm
Isla Reunión fotos históricas
Les esclaves de Bourbon Escrito por Prosper Ève
Moringue ,Capoeira y sus mismas raízes
D'un strict point de vue étymologique, le terme de "moring" appartient à la langue malgache. Pratiqué à la source par les descendants d'esclaves originaires d'Afrique et de Madagascar, le "moring" sera adopté au XXème siècle par la population la plus déavorisée de l'île de la Réunion.Malgré la proclamation officielle de l'abolition de l'esclavage le 20 décembre 1848, le moring restera encore pendant quelques décennies le patrimoine exclusif des Affranchis.
Danza Chega ó Sega (En Brasil ,Chica)
Viaje pintoresco al rededor del mundo Escrito por Jules Sébastien César Dumont d'Urville. http://books.google.es/books?as_brr=3&id=AYcBAAAAYAAJ&dq=trafico+esclavos+madagascar+mozambique&q=madagascar
1837-Rio de Janeiro Capoeira,Berimbau y Chica (Sega de Mascarenas)
Brésil .Escrito por Ferdinand Denis, Ferdinand-Jean Denis, César Famin
Bibliogr. Nachweis: Borba de Moraes (rev. ed.) I, S.256 ; Bosch, Brasilien 417.
1837 - 416 páginas
http://books.google.es/books?id=SioVAAAAQAAJ&vq=chinois&source=gbs_navlinks_s
¿Sega en Brasil? denominada Chiba ó Chica (Berimbau)
festas e tradicoes populares do brasil - Página 239de melo morais filho Durante o século XIX, no Brasil, em jantares festivos, comemorações íntimas, ... (3) Não conheço Chiba no norte do Brasil Pereira da Costa ...
Dicionário de percussão - Página 383
Plural de "chingan- ga" (África). viola Cordof. perc., sf, pl. ... quando toca em dupla ou no trio de "berimbaus" estilo 'angola' (Brasil). viola de arame
1822-Bobre,berimbau de Mascarenas en Haití
libro: Creolization of Language and Culture Escrito por Robert Chaudenson, Salikoko S. Mufwene
http://books.google.es/books?as_brr=3&id=iTmkzBKdA48C&dq=sega+danse+des+noir&q=BOBRE
1825-1865-Comercio clandestino de esclavos
Tesis:El desafío insurgente: análisis del corso hispanoamericano desde una perspectiva peninsular, 1812-1828
Autores: Autores: Feliciano Gámez Duarte
Directores de la Tesis: José Marchena Domínguez
Lectura: En la Universidad de Cádiz ( España ) en 2004
ISBN: 978-84-689-7231-2
Número de páginas: 631
http://dialnet.unirioja.es/servlet/oaites?codigo=396
Poco a poco, las naciones fueron aboliendo el tráfico de esclavos y luego la esclavitud. Inglaterra: 1807 y 1833; Francia: 1827 y 1848; Estados Unidos: 1812 y 1865; Dinamarca: 1802 y 1846; Brasil: 1850 y 1888, etc. A pesar de la supresión formal de la trata antes de la mitad de siglo, el gran explorador Livingstone afirmaba en 1857: “El interior está perdiendo todos los hombres capaces de trabajar. África se está desangrando por todos sus poros”. Y es que el comercio clandestino batía todas las marcas, porque la supresión de la trata hizo aumentar el precio de los esclavos. Entre 1825 y 1865 se vendieron de forma clandestina más de 1 millón de negros.
En 1817 nació la Sociedad Americana de Colonización, que recogió a los esclavos emancipados y, a partir de ellos, se fundó Liberia, en África. Inglaterra quiso trasladar su propia experiencia a los demás países, sirviéndose de su influencia en los Congresos y Conferencias internacionales, o mediante tratados bilaterales. En el plano práctico, empleó unos 30 navíos de guerra y 1.000 personas para reprimir el tráfico negrero entre 1808 y 1870. Si el buque negrero capturado era inglés, su capitán podía ser condenado a muerte a partir de 1828.
http://www.combonianos.com/MNDigital/revista/julio/200.html
Danzas y Luchas Mozambiques (Islas Mascarenas)
NOTAS DEL PESQUISADOR:
1)EXISTE VERSIÓN ORIGINAL DE 1839
Notas sobre el artículo: v. 2 - 1839 HASTA 1868 http://books.google.com/books?id=5hGQK-QrB8QC&hl=es&source=gbs_navlinks_s
Este libro dispone de una edición más reciente (1840).
2)En la página 62 del libro"Viaje al rededor del Mundo" se identifica un negro de Angola en la Isla Reunión que lleva 20 años allí(desde 1820)
Capoeira en el microscópio
Jogo de capoeira na Bahia, década de 1820.
Que vió Benedito en Bahía?
Dess. d'ap. nat. par Rugendas -- Lithographie de Sabatier, fig. par Wattier.19ème livraison (octobre 1835)
Nota de pesquisador
:Pastinha comezó con 10 años(1899) a aprender Capoeira con Benedito que contaba en la época con 80 años. Habría nacido en 1819.Benedito,llegó joven a Bahía y tuvo que conocer la Capoeira (Moringue malgache).
http://www.dominiopublico.gov.br/download/texto/cp020539.pdf
A capoeira angola na Bahia - Página 35
de Bola Sete - 2005 - 197 páginas ..Benedito e quando me ensinou o jogo tinha mais idade do que eu hoje...Mestre Pastinha faleceu em 1981, aos 92 anos de idade, dos quais 82 dedicados à causa da capoeira. Levou 8 anos na Marinha de Guerra, onde foi músico e
Otras citas:
http://saladepesquisacapoeira.blogspot.com/2009/05/ex-escravo-benedito.html
http://saladepesquisacapoeira.blogspot.com/2009/08/capoeira-en-el-microscopio.html
Puerto de Brest ,Cuna del Savate
Bibliographie de la France Escrito por Adrien Jean Quentin Beuchot, Cercle de la librairie (France) .http://books.google.es/books?id=3F88AAAAIAAJ&pg=PA200&dq=Michel+Pisseux&as_brr=3#v=onepage&q=Michel%20Pisseux&f=false
Tratado de hygiene naval, ou, Da influencia das condições physicas e moraes ... Escrito por J. B. Fonssagrives, João Francisco Barreiros. http://books.google.es/books?id=avkEAAAAYAAJ&pg=PA481&dq=alimenta%C3%A7ao+do+marinheiro+carnes&as_brr=3#v=snippet&q=brazil&f=false
Le Moring, art de combat afro-malgache
UMA
Université de La Réunion, CRESOI:
« mitolona » un ajuste de cuentas entre personas de modesta condición social.
La presencia del Islam han sido un freno para su expansión .
1817-Danza SEGA en Rio (Origen Mascarenas)
Le malaise créole Escrito por Rosabelle Boswell. http://books.google.es/books?id=gN9Kc6685BQC&printsec=frontcover&source=gbs_v2_summary_r&cad=0
http://loiseaudesiles.com/hist1.html
http://www.bibliotheque.refer.org/livre10/
REUNIÓN 1802-Supresión de esclavitud-1815-Restauración de la Esclavitud
Après les Portugais, les Anglais et les Hollandais, les Français s'engagent dans l'aventure coloniale. Ils « découvrent » les îles et s'y installent, utilisant la main-d'œuvre esclave, achetée principalement en Afrique et à Madagascar…
1504
Le premier navigateur européen à avoir croisé au large de La Réunion est Diego Fernandez Peteira. Il baptise alors La Réunion Santa Apollonia.
1513
Pedro de Mascarenhas croise au large de l'archipel formé par La Réunion, l'île Maurice et Rodrigues et lui donne son nom: Mascareignes
1613
Le 23 mars, l'amiral hollandais Pieter Willemsz Verhoeff (Pierre-Guillaume Veruff), de retour de Java, fait escale à La Réunion et baptise l'île encore inhabitée England's forest. Il décrit une île paradisiaque vierge avec des cours d'eau, des animaux : tortues, tourterelles, perroquets, ibis de La Réunion (ou solitaire), anguilles, canards, oies, tous extrêmement facile à tuer.
1638
Le 25 juin: Première prise de possession des îles Mascareignes par la France.
1642
Le 29 juin, les Français prennent une seconde fois possession des îles Mascareignes au nom du roi de France et rebaptisent île Bourbon. Premier débarquement en rade de Saint-Paul.
1646
12 mutins de Fort Dauphin (petit comptoir vers la route des Indes dans le Sud de Madagascar) sont abandonnés à La Réunion jusqu'en août 1649. Le 7 septembre, on les ramène à Fort Dauphin, mais certains sont fâchés de revenir. Une première carte de l'île est dressée avec les information de ces mutins. première carte.
1654
Seconde colonisation de l'île Bourbon par des gens de « mauvaise compagnie ».
1663
Le 10 novembre: Le Saint-Charles mouille à la Grotte des Premiers Français à Saint-Paul. L'île Bourbon est définitivement occupée par les Français. Deux Français s'y installent, Louis PAYEN et un collègue, et avec eux 10 serviteurs malgaches dont 3 femmes. Elle devient colonie à part entière et aussi la première base française de l'océan Indien.
1665 / 1764 La période de la Compagnie des Indes [modifier]
Pendant un siècle, la Compagnie des Indes administre directement l'île Bourbon qui lui est concédée par le Roi de France. En 1665, l'île accueille son premier gouverneur, Étienne Regnault, agent de la Compagnie des Indes. L'administration crée les premiers quartiers, exploite les richesses (tortues, gibier…) et accorde les premières concessions. En 1667 naît le premier enfant connu de Bourbon, mais il est probable que les premières femmes malgaches arrivées en 1663 avec Louis Payen aient déjà mis au monde des enfants. La colonisation définitive de l'île commence avec l'arrivée des premiers colons français accompagnés d'une main-d'œuvre malgache qui n'est pas encore officiellement asservie. Les « serviteurs » sont au service des colons de la Compagnie des Indes.
1665
Étienne Regnault devient chef de la première véritable colonie. L'île Bourbon compte 30 à 35 personnes. La colonie est basée au Camp Jacques à droite de l'embouchure de l'Étang de Saint-Paul.
1667
Naissance de Saint-Denis et de Sainte-Suzanne.
1671
L'île Bourbon compte 76 personnes.
1674
L'île Bourbon accueille les rescapés du massacre de Fort Dauphin, et devient alors la seule escale française sur la route des Indes. L'île compte alors 150 personnes. Pendant six ans, l'île va tomber dans l'oubli et la colonie va prospérer...
1686
L'île Bourbon compte 216 personnes.
1700
Versailles prend en considération cette escale sur la route des Indes. L'île est de plus en plus fréquentée.
1704
L'île compte 734 personnes.
1718
Nouvelle richesse de l'île, le café fait entrer Bourbon dans la grande aventure de la prospérité économique. Le développement de cette ressource s'accompagne d'un fort courant d'importation d'esclaves.
1719
Jusqu'en 1735, l'exportation annuelle de café atteint les 100 000 livres. L'île Bourbon « accueille » 1 500 esclaves supplémentaires par an. Ils proviennent d'Afrique, de l'Inde et de Madagascar.
1735
Bertrand-François Mahé de La Bourdonnais devient le premier gouverneur général des îles de Bourbon et de France. L'île de France devient plus importante que Bourbon : elle bénéficie d'un port naturel, Port-Louis, base navale idéale pour la lutte maritime que se livrent l'Angleterre et la France pour la domination de l'Inde. L'Ile Bourbon est cantonnée au rôle de pourvoyeuse de l'Ile de France et des flottes de guerre et de commerce en denrées alimentaires.
1738
Saint-Denis devient le chef-lieu de l'île au détriment de Saint-Paul.
1741
Les jeunes de l'île Bourbon sont recrutés pour la guerre contre les Britanniques en Inde.
1744
La production de café atteint 2 500 000 livres. L'île compte 2 500 habitants.
1756
Jusqu'en 1763, l'île Bourbon participe au conflit opposant la France aux Britanniques en Inde.
1764
Le roi rachète les Mascareignes à la Compagnie des Indes après la faillite de cette dernière. L'île entre pendant 30 ans dans une période économique très faste avec l'exportation des épices et du café.
1767
Le 14 juillet, la France récupère officiellement les Mascareignes.
1768
L'île Bourbon compte 45 000 esclaves et 26 284 habitants libres (Blancs et libres de couleur).
1772
Plantation des premiers girofliers dans l'île.
1788
L'île compte 47 195 habitants.
La culture du café à l'île Bourbon.
Ces deux périodes sont des périodes troubles pour l'île, qui subit les contrecoups des guerres de la Révolution et l'Empire. Les tensions naissent surtout quand l'Assemblée Coloniale créée par la Révolution refuse d'abolir l'esclavage.
L'île Bourbon devient en 1793 l'île de La Réunion. Cependant Napoléon transforme à nouveau le statut de l'île en la plaçant sous l'autorité d'un capitaine général résidant en île de France. L'assemblée coloniale est supprimée et l'esclavage rétabli en 1802.
L'île prend le nom d'île Bonaparte en 1806. Elle reprendra le nom de Bourbon en 1814.
1789
Révolution : l'assemblée coloniale prend le pouvoir aux mains de l'administration royale.
1795
L'île refuse l'abolition de l'esclavage mais adopte un système plus souple. La Réunion est soumise au régime révolutionnaire montagnard.
1796
Refus officiel de l'abolition de l'esclavage.
.1799
L'assemblée coloniale impose à l'île une véritable dictature.
1801
La Réunion revient sous le contrôle de la France après la prise de pouvoir de Bonaparte.
1802
La Loi du 20 mai 1802 maintient l'esclavage.
1806
août, La Réunion prend le nom d'île Bonaparte.
1807
Des catastrophes naturelles exceptionnelles ravagent toutes les cultures de café et de giroflier. Ces événements précipitent l'abandon du café, dont l'intérêt économique décline. Les exploitants se tournent vers la canne à sucre, dont les débouchés en métropole s'acroissent considérablement depuis la perte, par la France, de Saint-Domingue (Haïti) et avec le passage de l'Ile de France (île Maurice) sous domination anglaise.
1808
L'île, sans défense, subit le blocus de la flotte britannique.
1809
Du 16 au 25 août, les Britanniques débarquent à Sainte-Rose et sont repoussés par la garde nationale de Saint-Benoît.
Le 21 septembre, Saint-Paul est conquise par les Britanniques, qui se retirent immédiatement.
1815
Suite au Traité de Paris de 1814, les Britanniques retrocèdent l'île à la France le 6 avril : c'est la seule île de l'océan Indien qui soit rendue à la France. L'île compte alors 68 309 habitants. La culture de la canne à sucre se développe, mais l'île ne peut plus subvenir à ses besoins alimentaires.
1815 / 1848 De la Restauration à l'abolition de l'esclavage [modifier]
Plus de 45 000 esclaves sont introduits à Bourbon entre 1817 et 1831. La traite clandestine est tolérée par les autorités de Bourbon malgré l'interdiction officielle de 1815 (Congrès de Vienne). En 1830, après les Trois Glorieuses, la monarchie de Juillet gouverne en métropole. La traite est énergiquement combattue. Les lois Mackau (1845) adoucissent le régime des esclaves.
1825
Le premier déplacement d'Europe à La Réunion par bateau à vapeur prend 113 jours.
1829
Nouveau cyclone qui dévaste l'île.
1845
Mesures préparatoires à l'abolition de l'esclavage.
1848
L'île compte 103 490 habitants.
Le 9 juin, proclamation de la République : l'île Bourbon redevient l'île de La Réunion.
Le 27 avril a lieu la publication de l'acte d'émancipation. Le 20 décembre, Joseph Napoléon Sébastien Sarda Garriga], commissaire de la République, proclame l'abolition de l'esclavage à La Réunion. L'île comptait alors 60 000 esclaves.
1849 / 1946 De l'abolition de l'esclavage à la départementalisation [modifier]
L'esclavage est aboli mais l'île reste une colonie française jusqu'en 1946. Un nouveau système d'asservissement des hommes - « l'engagisme » ou concept plus adapté le « servilisme » - est à la base de la nouvelle organisation économique et sociale de l'île. Au 1er janvier 1848, la population esclave s'élève à 62 151 individus soit 60 % de la population totale. Libérés le 20 décembre 1848, les affranchis auront chacun un nom (attribué par l'administration coloniale) rajouté à leur ancienne appellation d'esclave. Une minorité d'entre eux acceptent de rester auprès de leurs anciens maîtres, les autres vagabondent misérablement dans l'île ou se réfugient dans les hauteurs de l'île à la recherche de terres libres à défricher.
Plus de 100 000 "engagés" Malgaches, Indiens (Malabars) et Africains (Cafres) seront introduits dans la colonie par les propriétaires d'anciens esclaves pour remplacer ceux-ci sur les plantations. L'île prend le nom d'île de La Réunion après la promulgation du décret du 7 mars 1848, le 9 juillet 1848 à La Réunion…
1849
Premières élections au suffrage universel.
1859
Epidémies de choléra et de variole.
Fin de l'immigration africaine.
1870
Le 22 octobre: départ volontaire de créoles pour la guerre contre la Prusse.
L'île compte 193 360 habitants.
1885
Fin de l'immigration indienne.
1952
Débuts de la Sakay à Madagascar.
1978
Premiers jeux des îles de l'océan Indien.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_La_R%C3%A9union
Esclavos de las Mascarenas ,en Brasil,la ruta del Moringue hacia Brasil
As idéias revolucionárias francesas seguiam determinadas trajetórias, e como conclui José Capela, circulam no mesmo sentido das rotas do tráfico negreiro que passavam pela costa oriental africana, isto é, pela via França (Nantes, Bordéus e Marselha)-Índico (Moçambique e Maurícias)-América (São Domingos e Brasil)190.
Os franceses eram dependentes da costa oriental africana (Moçambique, Querimbas, Lourenço Marques e Inhambane) para o fornecimento de mão-de-obra, que era utilizada nas vastas plantações existentes nas Mascarenhas. Por isto, não vieram a hostilizar ostensivamente a colônia portuguesa.
Além disso, os enclaves suahílis dispersos pela costa moçambicana exportavam, clandestinamente, escravos para os franceses. Eram até mesmo os locais preferidos pelos negociantes franceses, por não terem que pagar os direitos de exportação.193 Os escravos eram utilizados principalmente na agricultura (café, algodão, mandioca, anil e cana-de-açúcar) e criação de gado, além dos serviços dos navios e transporte terrestre.194
Apenas quando a belicosa rivalidade anglo-francesa chegou ao Índico, foi que os barcos portugueses viram-se impedidos de dirigir-se às Maurícias, por conta das represálias inglesas.195
Uma vez terminada a guerra com os franceses, foram normalizadas e reatadas as relações comerciais, inclusive com a abertura dos portos das duas nações à navegação mercantil. O comércio com as Mascarenhas teve continuidade até 1873, com os 3 a 4 barcos franceses que freqüentavam os portos moçambicanos, transportando cerca de 1500 escravos a cada ano.197
Os franceses estabelecidos nas Ilhas Mascarenhas, buscavam aumentar suas importações de escravos com a finalidade de obter mão-de-obra suficiente para dar conta da demanda resultante do desenvolvimento agrícola, que se encontrava em marcha naquele território.
Para tanto, além de concentrar sua procura por escravos junto à costa suahíli de Quíloa, voltaram-se também para as Ilhas Querimba como fornecedoras de escravos.
Estas últimas acabaram por se envolver num intenso comércio clandestino de escravos com os franceses.
E, no alvorecer do século XIX, aos franceses vieram se juntar os brasileiros, cubanos e norte-americanos, como participantes deste giro em rota ascendente, que acabaria por transfigurar completamente Moçambique.
Esse crescimento do comércio negreiro pode ser percebido pela publicação em 1800, de um decreto isentando de direitos os escravos que saíam de Moçambique em direção ao Pará e Maranhão.200 E, em 1809, será o próprio príncipe regente D. João quem dará instruções ao Almirante General, no sentido de ordenar ao governador de Moçambique, o envio da galera Aurora, carregada de escravos para o Rio de Janeiro.201
Várias circunstâncias concorriam para o viragem econômica, em que o ouro e o marfim perdiam espaço para o escravo, como principal produto de exportação. Dentre as quais se destaca a prosperidade econômica do Brasil, proveniente do ressurgimento da produção açucareira e o sucesso das fazendas de café no Vale do Paraíba demandava um grande número de escravos.
A Zambézia vai passar a suprir essa demanda, pois, no norte de Moçambique, as tradicionais rotas negreiras terrestres já não davam conta da crescente procura. Zonas marginais no tráfico negreiro, como as do rio Zambeze,começaram a chamar a atenção de empresários estrangeiros do tráfico, brasileiros principalmente.
http://dspace.c3sl.ufpr.br/dspace/bitstream/1884/7418/1/JRBPortella_tese.pdf
188 Os franceses haviam tomado posse da Ilha de Bourbon em 1642 e ocuparam a Ilha Maurícia em 1714, após seu abandono pelos holandeses em 1710.
dinâmica afro-islâmica na África Oriental african-islámica dinámica en el Este de África
História e desenvolvimento: Historia y Desarrollo:
dinâmica afro-islâmica na África Oriental african-islámica dinámica en el Este de África
oitocentista decimonoveno
por por
Luís Francisco de Carvalho Luis Francisco de Carvalho
A grande expansão da procura exterior de escravos provenientes da África Oriental, observável a partir de 1770, vai, pois, ter de encontrar outras fontes impulsoras. É a tentativa de transformação das Ilhas Mascarenhas, Ile de France (Maurícia) e Bourbon (Reunião), em economias de plantação, sobretudo vocacionadas para a produção de cana-de-açúcar (à imagem do que sucedia nas Caraíbas), que fornece o principal estímulo à demanda de mão-de-obra escrava levada a cabo pelos franceses. Esta relação com as ilhas francesas do Indico vai explicar a expansão de Quíloa, o principal entreposto de abastecimento, que possibilita alguma resistência dos seus governadores suaíli em face da crescente dominação omanita. No entanto, Quíloa encontrava-se dependente das redes comerciais estabelecidas com os principais centros do norte (onde Zanzibar vai ganhando proeminência), para o abastecimento dos produtos de que necessitava para a captação de escravos oriundos do seu hinterland , acabando por cair na
dominação omanita - sendo as tentativas francesas para reverter a situação, onde avulta a acção de Morice, votadas ao fracasso (vd. Sheriff, 1987, pp.43-46).
Também a partir de Moçambique, o comércio de escravos ganha novo impulso, não só para satisfazer a procura francesa e de Madgáscar, como, principalmente a partir do inicio do séc.XIX, com destino ao Brasil (movimento que se dá igualmente em Angola). De registar, ainda, a presença de navios espanhóis procurando escravos para Cuba e até de alguns negreiros provenientes dos Estados Unidos (vd. Curtin et al., 1978, pp.393-395).
http://pascal.iseg.utl.pt/~cesa/files/DocTrab_36.PDF
Bhajan,los trovadores Indios en Madagascar(tocadores de Bobre)
Aquí está el testimonio de un Lazaris, escrito en 1740: «La parroquia de San Luis no está habitada por falta de agua. Los capitanes de la tierra permanecen en St. Paul. Ils ,van de vez en cuando en sus hogares por accidente. En caso contrario, sugieren que son pocos los negros ".
Esta libertad permitirá los intercambios entre Mozambique y Madagascar, sobre todo en la música, mejor tolerada por los "amos". ¿Cuántas aportaciones de todos en la fusión de la maloya?
La relación de cortesía entre los primeros pobladores de Borbón (Reunión)y de sus "compañeros" de color - hasta el matrimonio, empezó a cambiar a mediados del siglo XVIII. El Código Negro aparece Mascareñas en 1723 y el negro servidor pasó a esclavo. Además, del matiz maloya hay una nueva expresión , la imagen de los "blues" en los Estados Unidos que se convierte en un lamento: malgache "maloya" significa "estoy harto".
Según Kalidas, músico indio que vivía en la provincia de Majunga Madagascar, tendría que ir más atrás en el tiempo para realmente comprender la génesis de Maloya.
Desde el siglo XVI, la provincia india de Gujarat, en particular la península de Katchi, existe el comercio con Madagascar, con la sal, el aceite y el algodón en sus dhows (Embarcaciones a vela)http://es.wikipedia.org/wiki/Dhow , a cambio de oro. En esta región, por tradición, una especie de trovadores (bahjan) cantaban canciones a la gloria de Dios, reunión de los cinco elementos: "Bhajan". http://es.wikipedia.org/wiki/Bhajan
Estas canciones tienen un ritmo sincopado, implican que la melodía se caracterize por el uso de cuartos de tonos. Incluidos en estos dhows, estos músicos se aprovecharon de la reparación de barcos en la región Majunga-Madagascar, para tocar en la playa. Una multitud de curiosos escuchan estas canciones rítmicas acompañadas de panderetas ,dos partes "Pakhavaj *" significa platillos de latón y "Ravanhato *", antepasado de la laúd, pero con una sola cuerda. Algunos malgaches han participado en estas fiestas y gracias a su sentido del ritmo y la melodía, fueron capaces de reproducir estas canciones alegres de las que eran tan aficionados. Habiendo poco instrumentos de percusión, que fueron sustituidos por escribir en sus manos y "Madagascar" indio textos. Así nació la llamada "danza de Madagascar."
Los emigrantes a la Reunión, así como a otras islas en el Océano Índico (Mauricio, Rodrigues, Seychelles), mantienen viva la música hoy en día en su forma tradicional.
Además, estos nómadas-indio músicos, que cantaban en las calles de Surat y otras ciudades de Gujarat, practicaban el sistema de un solo cantante mélopée a menudo improvisados, se reanudaba el coro por el resto del grupo, la forma en que se encuentra en la maloya sin cambios. Sin embargo, esta forma de cantar con varias voces también está en África.
Bernardin de Saint-Pierre arroja luz sobre los instrumentos utilizados para este baile Madagascar: "Las niñas Madec (Madagascar), bailando al sonido del " Bobre "(berimbau de Reunión)y una calabaza llena de guisantes" (1773).
También se encontraron estos dos , bobre malgache (arco mucical) y la calabaza para ser posteriormente sustituido por el "Caïanme *", en Maloya.